Le bon traitement permet à un garçon de 14 ans de retourner à son sport favori
Un garçon de 14 ans faisait du hockey de compétition lorsqu’il commença à ressentir de gros vertiges et des étourdissements. Comme les symptômes persistaient, sa mère consulta son pédiatre qui diagnostiqua chez le garçon une affection rare : le réseau de conduction électrique de son cœur défaillait dans des conditions d’efforts physiques extrêmes.
Pour confirmer ce diagnostic et valider le traitement proposé, les parents envoyèrent le dossier de leur fils à Deuxième opinion médicale. Un expert en cardiologie électrique de Deuxième opinion médicale (membre de la faculté de médecine de l’un des centres d’enseignement médical affilié à DOM) examina le dossier et confirma le diagnostic. Il recommanda que le meilleur traitement était d’enlever le tissu cardiaque à l’origine du problème par une technique appelée thérapie d’ablation.
Un spécialiste canadien fut trouvé. Il évalua son jeune patient et le traita avec succès. Depuis, le garçon a recommencé à jouer au hockey et n’a plus aucun problème.
La deuxième opinion d’un expert rassure et procure la tranquillité d’esprit
Une femme de 37 ans avait reçu un diagnostic de kystes de Tarlov, une sorte d’excroissance inhabituelle dans la région du rachis. Elle ressentait aussi un malaise au bas du dos avec une légère douleur qui irradiait dans sa jambe gauche. La patiente entreprit alors des recherches sur ce kyste et s’inquiéta de ce qu’elle découvrit. Elle se demandait si les kystes de Tarlov étaient la cause de ses douleurs dorsales et s’il fallait les traiter ou encore s’ils limiteraient ses activités.
Après avoir examiné son dossier, le spécialiste de Deuxième opinion médicale conclut que les kystes de Tarlov n’avaient pas de lien avec sa douleur dorsale et qu’ils étaient probablement là depuis un certain temps. Il put rassurer la patiente en lui disant que les kystes n’affecteraient en rien ses activités et qu’elle n’aurait pas besoin d’une opération. Il répondit à toutes ses questions sur les kystes de Tarlov, lui recommanda d’observer et d’attendre, et l’assura qu’il réévaluerait son cas si les symptômes empiraient un jour ou l’autre.